Le temps des autres et leur couleur de ciel malade me tirent plus souvent à l’intérieur de moi.
C’est sous ma peau que je retrouve vie et dans ma chair que je fais l’examen le plus exact des moeurs de mon espèce.
Libre aux craintifs de me trouver absent ;
je ne fais aucun cas de l’entrechoc de leurs mâchoires et si je me déchire ce n’est pas le fait de trop de fureur c’est sentir l’angles des certitudes ouvert moins qu’autrefois.
Bernard Hreglich / Droit d’Absence